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histoires belges - Page 2

  • C'est technique !

    Gare Centrale à Bruxelles : comme tous les jours, un homme vient acheter deux billets pour rentrer chez lui à Ostende. Le guichetier se demande bien pourquoi. Il en fait part à un ami contrôleur.
    - Pas de problème, dit celui-ci. Je vais lui dire que c'est stupide de prendre deux billets pour un voyage.
    Pendant qu'il contrôle les billets à bord du train, il voit l'homme en question et lui demande pourquoi il achète deux billets.
    - Ah, ça c'est technique.
    - Comment ça, technique ?
    - Ben oui, si je perds un billet, j'en ai un deuxième.
    Le contrôleur réfléchit un instant.
    - Oui, mais si vous perdez le deuxième, comment faites-vous ?
    - Eh, je suis pas con, j'ai toujours mon abonnement avec moi !

  • Touriste

    Un pêcheur explique à un touriste belge :
    - Vous savez, hier il y a eu une tempête et le port en a souffert. La jetée a été entièrement détruite par un raz-de-marée.
    - Ah ben ça c'est désolant, une fois. Jamais je n'aurais cru qu'un rat puisse faire autant de dégâts.

  • Nom d'un chien !

    Un Français et un Belge se baladent dans un parc. Ils passent devant un berger allemand en train de se lécher la bite.
    - J'aimerais bien pouvoir en faire autant, dit le Français.
    - Il vaudrait mieux que tu l'apprivoises d'abord, répond le Belge.

  • Tout le monde peut se tromper

    Un Français et un Belge entrent dans un bar. Ils remarquent une femme superbe assise seule à une table.
    - Il faut absolument que je fasse sa connaissance ! dit le Belge.
    - Laisse tomber, c'est une lesbienne.
    - Aucune importance ! Laisse-moi faire, tu vas voir.
    Il s'avance vers elle d'un pas assuré, sourit d'un air engageant et lui dit :
    - Bonsoir. Vous êtes d'où en Lesbie ?

  • Au revoir la Belgique ! Vaarwel België !

    Semaine des histoires belges 2011

  • Pas si bête

    Semaine des histoires belges 2011Un belge entre dans un bar parisien et s'accoude au comptoir. Le fils des patrons lui demande :
    - Qu'est-ce que vous prenez, monsieur ?
    - Un whisky avec deux glaçons, s'il vous plaît.
    Le Belge avale son verre d'un trait et prend le chemin de la sortie.
    Le garçon le rappelle :
    - Hé monsieur, il faudrait penser à payer votre consommation.
    - Comment ça, payer ? Vous m'avez demandé ce que je prenais. C'était une invitation. Il ne faudrait pas me prendre pour un imbécile sous prétexte que je suis belge.
    Et il s'en va.
    Le soir, le garçon raconte l'incident à ses parents.
    - Ça ne fait rien, dit le père. Demain, c'est moi qui m'occupe du bar. S'il revient, il trouvera à qui parler.
    Le lendemain, le patron est derrière le bar quand le Belge arrive. Ayant oublié l'incident de la veille, il demande machinalement :
    - Qu'est-ce que vous prenez, monsieur ?
    - Un whisky avec deux glaçons, s'il vous plaît, dit le Belge.
    Puis il siffle son verre et s'apprête à partir.
    Le patron le rappelle, mais le Belge dit :
    - Ah non, vous m'avez aimablement proposé de boire quelque chose. Quand on offre une consommation, on n'exige pas le paiement.
    Et il sort.
    Le patron, furieux, raconte ça à sa femme le soir. Autoritaire, celle-ci decide de tenir le bar le lendemain et de s'occuper de l'individu s'il ose reparaître.
    Et le lendemain, le Belge entre dans l'etablissement comme si de rien n'était.
    - Bonjour monsieur, dit la patronne.
    - Bonjour madame, répond le Belge.
    A son accent, elle se méfie et décide de se taire.
    Au bout d'un quart d'heure, elle finit quand même par s'impatienter et s'enquiert finement :
    - Monsieur désire passer commande ?
    - Oui, bien sûr. Donnez-moi un oeuf dur et un couteau, s'il vous plaît.
    Un peu étonnée, la patronne lui donne ce qu'il demande. Puis elle le voit éplucher l'oeuf et le découper en petits cubes. Curieuse, elle s'approche :
    - Qu'est-ce que vous faites ?
    - Je me prépare pour la pêche, répond le Belge.
    - Ah oui ? dit la patronne, intéressée malgré elle. Vous pêchez avec des oeufs durs ?
    - Oui, c'est un système à moi, ça marche du tonnerre.
    - Et qu'est-ce que vous prenez avec ça ?
    - Un whisky avec deux glaçons ! lance le Belge triomphant.

  • A la lettre

    Semaine des histoires belges 2011Un facteur remet son courrier à un Belge :
    - Tenez, vous avez une lettre par avion.
    - Menteur ! Je vous ai vu arriver avec votre vélo.

  • Alcootest

    Semaine des histoires belges 2011Pourquoi les Belges enlèvent-ils leurs lunettes pour passer un alcootest ?

    Parce que ça fait toujours deux verres en moins.

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  • Champion du monde

    Semaine des histoires belges 2011Athlétisme : un Belge a battu le record du monde du 100 mètres. Il a couru 102 mètres.

  • On n'est jamais trop prudent

    Semaine des histoires belges 2011Un Belge entre dans un bar et commande une bière. Il a à peine bu deux gorgées qu'il est pris d'une soudaine envie de pisser. Pour qu'on ne lui siffle pas son verre, il y colle un Post-it : "J'ai craché dans ma bière", puis va aux toilettes. Lorsqu'il revient, quelqu'un a ajouté sur le Post-it : "Moi aussi".

  • Motards belges

    Semaine des histoires belges 2011Pourquoi les Belges font-ils de la moto en pyjama ?

    Pour mieux se coucher dans les virages.

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  • Toilettes

    Semaine des histoires belges 2011Pourquoi les Belges vont-ils aux toilettes avec un fusil ?

    Pour chasser les mauvaises odeurs.

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  • Le train sifflera... une fois

    Semaine des histoires belges 2011Un couple de Belges visite une maison mise en vente à un prix alléchant. Ils sont emballés et prêts à signer, lorsque passe un train sur la voie ferrée voisine, dans un fracas assourdissant.
    - Ne vous inquiétez pas, dit l'agent immobilier en haussant la voix, au bout de trois jours vous ne les entendrez même plus.
    - Bien, bien, fait le mari. Alors on passera les trois premiers jours à l'hôtel.

  • C'est rassurant

    Semaine des histoires belges 2011Deux Belges font du saut à l'élastique pour la première fois :
    - Tu es certain qu'il n'y a pas de danger avec l'élastique ?
    - T'inquiète pas, j'ai mis 10 mètres de plus pour être sûr.

  • En route

    Semaine des histoires belges 2011Un Belge fait le trajet Paris-Lyon en voiture. Il prend une auto-stoppeuse en mini-jupe.
    Celle-ci commence à lui faire du charme.
    À l'entrée de Lyon, le Belge lui frôle la jambe par mégarde en changeant de vitesse. La fille le regarde droit dans les yeux et lui dit :
    - Tu peux aller plus loin, tu sais ?
    Et le Belge continue jusqu'à Marseille.

  • Leçon de géographie

    Semaine des histoires belges 2011A Liège, un petit garçon rentre de l'école en pleurant :
    - Qu'est-ce qui t'arrive ? lui demande son père.
    - J'ai eu un zéro en géographie.
    - Et pourquoi donc ?
    - Je n'ai pas su dire où se trouvait la Bulgarie.
    - Quoi ? Triple andouille ! Passe-moi la carte de Belgique !
    Et le père cherche, cherche... Au bout d'un moment :
    - Elle n'est pas assez précise. Donne-moi la carte de la province de Liège.
    Et il cherche de plus belle.
    - Je n'y comprends rien, dit-il finalement. Ça ne peut pas être bien loin, pourtant : j'ai un copain bulgare qui vient travailler tous les jours en vélo.

  • Il suffira d'un cygne

    Semaine des histoires belges 2011

    Un couple de Belges en vacances à Paris contemple les gracieuses évolutions des cygnes sur le lac du Bois de Boulogne. Un homme s'approche et leur demande :
    - Vous en avez admiré combien ?
    - Euh... cinq, répond le mari.
    - C'est un euro par cygne et par personne, dit le gars, cela vous fera donc dix euros.
    Le Belge tend un billet de dix euros sans protester.
    Le soir, de retour à l'hôtel, les touristes racontent leur histoire au réceptionniste, qui s'écrie :
    - Mais c'est de l'escroquerie pure et simple !
    - Je pense bien ! fait la femme d'un air triomphant. En fait, on en avait vu douze !

  • Bébé

    Semaine des histoires belges 2011Un Français rend visite à un ami belge qui vient d'être papa. Il tombe en admiration devant le nouveau-né dans son couffin :
    - Comme il est beau ! Ça lui fait quel âge ?
    - Quinze jours.
    - Et il s'appelle comment ?
    - Ben ça, on ne sait pas, vu qu'il ne parle pas encore.